Sauf que mon mari a décidé de s'y mettre.
J'aime pas qu'on empiète sur mon territoire, tout comme mon père au foyer de mari n'aime pas que j'empiète sur sa cuisine.
Donc il a posé un premier pied en me négociant le côté nord-ouest du gazon. Pour y recréer son idéal inconscient de gazon anglais, l'inconscient.
- Ensuite, il a décidé de virer le gros rocher et le gros buisson de son bout de gazon
- Et puis il a ramené un sac de truc pour tuer les machins pas beaux dans le gazon
Avec des avertissements du genre : ne laissez pas vos enfants jouer sur la pelouse pendant troisansjours - Et puis d'abord, il a passé la tondeuse et coupé la tête aux fleurs jaunes dont j'ai oublié le nom.
- Evidemment, il les a plantés à un endroit que j'aurais peut-être choisi, mais peut-être pas, et finalement surement pas. Finalement.
- Moi je voulais planter des trucs qui se mangent. Genre des haricots géants, si ça existe.
- Et il a déplacé mon rosier peut être grimpant, qui s'avère être probablement un rosier nain, mais qui sait, peut être la présence d'un tuteur lui aurait donné l'idée de grimper, à mon rosier nain.
- Puis les clématites c'est pas vraiment des fleurs, c'est le nom de l'âne avec lequel on a fait une randonnée dans le Massif Central quand j'étais petite.
- Tout compte fait, j'en avais probablement pour encore un ou deux ans de réflexion avant de décider quoi planter, et la vilaine tonnelle en ferraille mérite bien la majestueuse fleur violette qui a éclos le week-end dernier.
2 commentaires:
ben oui, papazon a aussi le droit de faire autre chose que s'occuper de toute la famille non !
Profiteuse :)
je compatis
l'homme a interdiction totale de toucher à mon bébé basilic, et quoi le tuer pour le mettre dans la sauce? mais tu sais combien de temps j'ai mis pour qu'il pousse?
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